Il paraîtrait...

- que Nicolas Sarkozy a écrit une tribune dans le Figaro, mais aussi au Père Noël quand il était petit, la liste des courses deux ou trois fois d’après mes informations, un discours ou deux mais un peu aidé, des cartes postales mais tant que ça, des mails avec parfois des fautes de frappe comme ça arrive à presque tout le monde, des textos y compris quand il était filmé par la télévision, sur les murs de sa chambre vers 5 ans et avait été puni par sa mère, sur son ardoise peu de temps après à l’école, au couteau sur un arbre s’il est romantique mais il faudrait le vérifier, aux ciseaux sur son pupitre quand il s’ennuyait, non pas à l’école mais à l’Assemblée. Et allez savoir, dans tous ses écrits, peut-être y’en aurait-il un qui puisse être disséqué et commenté. Mais puisque le temps qui m’était imparti par moi-même pour ce paragraphe est écoulé, je m’en vais vaquer à des occupations que je vais tâcher de choisir personnellement.

- qu’un apiculteur de la Loire s'est fait voler en fin de semaine dernière 61 ruches, ce qui représente un préjudice de 60.000 euros. La ruche à 1000 balluches, et, si on en prend 60, la dernière est gratuite ? Je pose la question au cas où j’aurais un problème de maths à soumettre à des enfants de CE2 ! Blague passée, on peut lier cette affaire aux vols de vignes dans le champenois ces derniers mois. Et on peut se dire que de tels vols ne peuvent être effectués que par des professionnels, des connaisseurs, des gars du métier. Est-ce la vénalité, la jalousie, ou la crise qui fait agir ainsi ? Qui vole du vin vole d’essaim ? Qui vole du vain voit des seins ? On peut s’interroger. Mais puisque le temps qui m’était imparti par moi-même pour ce paragraphe est écoulé, je m’en vais vaquer à des occupations que je vais tâcher de choisir intéressantes.

- que le père qui avait tué sa fille handicapée, dont le lourd handicap lui était devenu insupportable, a été condamné ce vendredi à cinq ans de prison avec sursis par la cour d’assises de Seine-et-Marne. La cour a assorti cette peine d'une mise à l'épreuve de trois ans et d'une obligation de soin. Hier également, une femme est montée sur une grue à Toulouse et a menacé de sauter. Elle dénonçait devoir retirer son fils autiste de l'école faute d'auxiliaire de vie. Manque de solutions adaptées, parents en détresse, y a-t-il un lien entre les deux ? Je me le demande. Mais puisque le temps qui m’était imparti par moi-même pour ce paragraphe est écoulé, je m’en vais vaquer à des occupations que je vais tâcher de choisir altruistes.