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ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
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11 juillet 2013

Il paraîtrait...

- que la sexomnie est une forme de somnambulisme qui pousse une personne à avoir un rapport sexuel durant son sommeil sans en avoir le moindre souvenir au réveil. Elle serait due au stress, à la prise d'alcool ou de médicaments et touche majoritairement les hommes. C’est donc un trouble, expliqué et explicable donc excusable. Il faudrait en découvrir les mécanismes, et en jouer un peu, et le faire varier, en bricolomnie, en ménageomnie, en rangeomnie, peut-être que les partenaires préféreraient ! Ah, si on avait le choix de soi, de soie, du moi, du mois, du toi, du toit, serait-on dans l’embarras ou finirait-on dans le débarras ?

- que le poète Louis Aragon naquit d'une relation illégitime entre un notable de Paris et une jeune femme bourgeoise, de 33 ans sa cadette. Les mères-filles étant mal vues à l'époque, toute la famille se réorganisa pour faire croire à une adoption. Ainsi, ses grands parents devinrent ses parents adoptifs, sa mère biologique, sa sœur, et son père son parrain. Il n'apprit la vérité qu'à 20 ans. Mais si tout ça n’avait pas eu lieu, s’il l’avait appris avant, ou après, ou jamais, aurait-il été plus ou moins talentueux ? Ah, si on avait le choix de soi, de soie, du moi, du mois, du toi, du toit, serait-on dans l’embarras ou finirait-on dans le débarras ?

- que l'héroïne, lors de sa première commercialisation en 1898, était en vente libre et utilisée notamment pour remplacer la morphine, contre les maladies pulmonaires et même comme somnifère pour les enfants ! Ah si on pouvait contrer l’addiction de certains produits comme les effets secondaires de certaines substances et ne garder que leur moelle bénéfique, on serait bien mieux. Mais, si on pouvait éviter les maladies, on n’aurait plus besoin de quoi que ce soit pour les contrer. Et si on maîtrisait le bonheur, on ne le chercherait pas dans des substances plus ou moins licites. Ah, si on avait le choix de soi, de soie, du moi, du mois, du toi, du toit, serait-on dans l’embarras ou finirait-on dans le débarras ?

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