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ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
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19 mars 2013

Il paraîtrait...

- que le four d'un crématorium monte en moyenne à 850 degrés. La combustion complète d'un corps de corpulence moyenne dure environ une heure et demie. Evidemment, quand on compare cette information au fait qu’il faut le même temps pour cuire un poulet de 1 kg 500 dans un four à thermostat 7, pour encaisser le parallèle, il faut soit une bonne dose d’humour, une bonne dose d’insouciance, une bonne dose d’esprit fataliste, ou un savant cocktail de tout ça. Quant à savoir si de tels savoirs doivent être sus, c’est toujours la même ritournelle, le même questionnement, les mêmes interrogations. A quoi sert l’information ? En a-t-on besoin ? Aurait-on pu s’en passer ? Il semblerait que certaines données inconnues pourraient le rester sans nous perturber plus que ça.

- que d'après des travaux menés par les chercheurs de l'école de médecine de Boston, l'huile de poisson associée à l'aspirine serait bonne pour combattre l'arthrose. Mets de l’huile, disait l’anonyme omniscient ou moqueur. Ça ou autre chose, pourvu que ça me soulage, disait le patient douloureux. On va trouver remède, disait celui qui voulait atténuer le mal voire le faire disparaître. De l’huile ou un autre ingrédient, de poisson ou de palme des plongeurs, peu importe. Quant à savoir si les recettes doivent être connues, c’est toujours la même ritournelle, le même questionnement, les mêmes interrogations. A quoi sert l’information ? En a-t-on besoin ? Doit-on connaître les causes du bien ? Il semblerait que certaines données inconnues pourraient le rester sans nous perturber plus que ça.

- que d’après une étude réalisée par la société Sciforma, un français reste concentré au travail 12 minutes, durée maximale répertoriée, avant d'être interrompu. Ensuite, un collègue arrive, le boss apparaît, le téléphone sonne ou la caravane passe ? Si le travail est effectué, si le résultat est au bout d’une somme de plages de 12 minutes entrecoupées par des interruptions qui seraient finalement peut-être nécessaires au cerveau pour se remettre en marche, qu’importe, non ? Quant à savoir si de tels mécanismes doivent être découverts, c’est toujours la même ritournelle, le même questionnement, les mêmes interrogations. A quoi sert l’information ? En a-t-on besoin ? Doit-on connaître les rouages de l’efficacité ? Ah, là, oui, il semblerait bien que oui. Pour optimiser les performances, ce serait une bonne idée de départ. Il semblerait que certaines données inconnues pourraient ne pas le rester sans nous perturber plus que ça, bien au contraire.

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