Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
Publicité
ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 17 679
1 février 2013

Il paraîtrait...

- que la façon dont vous perdez votre virginité influence votre vie sexuelle. Toute première fois, toute toute première fois, chantait Jeanne Mas. Vous y êtes ? Logiquement, si vous êtes correctement constitués, votre cerveau a dû aller faire un tour quelques années en arrière, ou la semaine passée, ou encore hier, je ne vous connais pas tous très bien, mais en tout cas en direction de cette toute toute. Une étude menée par les chercheurs des universités du Tennessee et du Mississippi affirme qu’une première initiation au sexe réussie rendrait la vie sexuelle plus satisfaisante. Certaines personnes sont rebutées à l’idée de manger de la cervelle ou des tripes, même bien préparées. Si elles les goûtent la première fois assises sur une colonie de fourmis rouges ou en pleine mer avec des creux de huit mètres alors qu’elles souffrent de mal de grosses vagues, on peut imaginer, en effet, chers chercheurs, que les dégustations futures pourraient s’en trouver altérer. Mon contre-exemple pour aller dans le sens d’une forme de légitimité ou de justesse de leur conclusion, qui, comme toute conclusion, peut être également confirmée par l’exception à la règle, mon contre-exemple n’est absolument pas, le précise-je aux cerveaux à interprétations hâtives, une métaphore sur une first time qui m’appartiendrait. Ou alors, Freud se tord de rire dans sa tombe, au risque, le con, de se cogner la tête ! Et un trauma crânien, un.

- qu’une étude de votre profil Facebook en dit autant sur vous qu’une visite chez le psy. Si dans les lignes qui vont suivre, nous sommes d’accord sur l’idée initiale, ça va jaser dans la profession citée et les divans vont se vider ! En tout cas pour une première évaluation. Ceux qui le souhaitent pourront toutefois y aller avec leur profil FB sous le bras pour expliquer ce dont ils souffrent. Une équipe de l’université du Missouri a souligné qu’un questionnaire est toujours incomplet et dépend de la mémoire du patient alors qu’avec le recueil des données FB, les chercheurs ont réussi à faire le lien entre les activités et les manifestations de la schizophrénie chez certains patients, notamment leur comportement social ou leurs délires. N’effacez rien, ne supprimez pas à outrance à partir de cette lecture, ça montrerait, là, votre niveau de paranoïa. L’œil averti qui en vaut deux lira en vous comme dans une porte ouverte, au pied de la lettre ou de la fenêtre dont les volets clos ou verts font tâche sur la maison bleue de San Francisco. Ou alors, Freud se tord de rire dans sa tombe, au risque, le con, de se cogner la tête ! Et un trauma crânien, un.

- qu’une fréquence accrue des pannes d'érection, même légères, peut signaler un risque plus élevé de maladie cardiovasculaire et de mortalité prématurée, selon une étude menée en Australie et publiée mardi aux Etats-Unis. S’interroge-t-on sur le fait que la recherche ilienne ait été publiée au pays de l’oncle Sam, dont le riz colle, puisque c’est celui d’un autre oncle qui ne colle pas, par définition ou contre-définition ? Pourquoi un tel déplacement géographique ? Et Pourquoi publier un mardi ? Car les lundis de reprise sont trop douloureux ? La bandaison, papa, ça se commande pas, chantait Brassens. Admettons, mais du bout des lèvres, qu’il ait eu raison, les pannes sont cool, trop bien, formidables, bienvenues, propices et opportunes puisqu’elles préviennent. Le corps est bien fait. S’il y a érection alternative, c’est l’heure d’aller voir le docteur et de lui montrer sa…poitrine afin qu’il écoute le cœur. Et qu’il trouve l’éventuelle défaillance. Double sauvetage, du cœur et de la b…andaison. Sauf si le cœur n’a rien, et que les pannes sont directement liées au dysfonctionnement du nerf inconnu et invisible qui relie l’organe érectile au cerveau et que des courts-circuits se forment sous le crâne, causés eux-mêmes par des pensées parasites ou ravageuses, pensées multiples jouant aux auto-tamponneuses entre elles. Sauf si c’est autre chose, encore plus complexe ou tout simplement plus simple. Ou si ce n’est pas un mardi qui suit un lundi. Ou alors, Freud se tord de rire dans sa tombe, au risque, le con, de se cogner la tête ! Et un trauma crânien, un.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité