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ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
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10 août 2011

Respiration "aoutienne"

Comment parler d'un ami sans le faire rougir ? L'évoquer, le citer, sans le nommer, même si certains le reconnaissent, au risque de le faire pâlir ? Vanter ses qualités, et pourquoi pas survoler ses défauts, au risque de le faire blêmir ? En ce moment, je le vois tous les jours, et j'avoue que ça me fait du bien. Il m'avait manqué, je le voudrais plus présent, même si je le sais toujours là, quelque part, pour moi...Mais aussi pour d'autres. Je ne dirais que je suis jaloux, je ne réclame pas l'exclusivité, je ne le veux pas pour moi tout seul, mais je reconnais que s'il se montrait plus, j'en serais encore plus heureux. Je l'aime. Je dirais même que j'ai besoin de lui. Pourrait-on évoquer une notion de dépendance ? C'est possible, probable, mais difficilement avouable. J'ai peur de le perdre, c'est incontestable. Un jour, il partira, il s'éteindra, comme on dit. Et ce jour-là sera terrible, je le sais. C'est pourquoi j'en profite aujourd'hui, je loue sa présence, sa chaleur, et je passe mes journées avec lui. Même, je dirais que je n'ai pas d'autre ami comme lui, il est seul et unique, et lorsque je me réveille en sachant que je vais le retrouver, mon sourire s'illumine, et la joie remplit mon cœur. Ah, Soleil, Mon Ami, je t'adore (surtout quand tu me dores !).

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