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ORTHOPHONISTE LE JOUR, ECRIVAIN LA NUIT.
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21 avril 2013

Il paraîtrait...

- que l’aisance passe par les anses, surtout quand il s’agit de paniers ou de sacs en plastiques, ou encore de sacs poubelles, mais là, les avis divergent sur le lien idoine, même si on en parle rarement, allez savoir pourquoi. Il paraîtrait que je préfère la mer à l’amer n’est pas une phrase revendiquée par Charles Trenet dans la boue mais que je pourrais faire mienne ailleurs qu’à Sienne. Il paraîtrait que la phrase précédente ponctuée aurait pu être plus claire, mais qu’il est trop tard pour y revenir. Il paraîtrait que sur Terre, certains choisissent de se taire alors que d’autres se terrent et qu’il n’y a rien de pire que les mots tus et la bouche cousue. L’écrit est parfois nécessaire pour comprendre la réalité ; on peut s’en amuser. Les cris reflètent parfois la réalité ; et là, c’est plus triste.

- que si vous prenez un verre de cuisine classique, un verre totalement banal suffira, un petit verre ou un plus grand, cela n’a pas d’importance, pas plus que son épaisseur, bien qu’il vaille mieux qu’il soit transparent plutôt qu’opaque, faites-le, je vous attends, et que vous placez son cul devant votre œil en fermant l’autre si vous en possédez deux, et que vous tentez de lire ce qui suit, vous n’y arriverez pas. Comme quoi les études et les expériences valent ce qu’elles valent et que la hauteur de leur valeur ne vaut pas que par leur auteur. L’écrit est parfois nécessaire pour comprendre la réalité ; on peut s’en amuser. Les cris reflètent parfois la réalité ; et là, c’est plus triste.

- que le/la gynotikolobomassophile adore mordiller le lobe d'oreille de son/sa partenaire alors que le/la kruppafrigiphile a une attirance sexuelle pour les fesses anormalement froides, et peu importe à qui elles appartiennent, le propos n’est pas là de toute façon. Notre langue regorge de mots, et parfois certains nous manquent, et d’autres nous arrachent la bouche. Je n’évoque pas ici le merci que certains peinent à dire. Mais lorsqu’un freluquet cuistre un tantinet branquignol est à califourchon sur un boudin entre un rhododendron et un bougainvillier risquant des ganglions aux roubignoles, on aime autant ne pas avoir à lire dire, autant que ce soit posé quelque part en toutes lettres. L’écrit est parfois nécessaire pour comprendre la réalité ; on peut s’en amuser. Les cris reflètent parfois la réalité ; et là, c’est plus triste.

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